Bernard Noël+
Alain,
Je notais, ce matin, vous lisant, cela : (à propos de l'autocensure et de la remarque de Bernard Noël, "je ne cesse de me battre contre l’autocensure) (j'y reviendrai plus longuement dans une lettre suivante) : "mais peut-être que précisément écrire est tendre un pont de lianes fragiles entre conscient et inconscient".
Et maintenant, je crois que j'attends, je vous le dis tout simplement, que vous m'ouvriez les portes du reste de votre œuvre. Je vous laisse maître et juge du tempo, du choix, de l'ordre dans lequel vous avez envie de le faire.
(je m'aperçois que j'ai peur de vous décevoir et là j'ai tort, je ne dois pas m'autocensurer et rester dans cette spontanéité totale qui s'établit de plus en plus dans notre échange...)
Florence